La belle et le vélo
Margareth et ses dix-neuf printemps
Etait vouée à épouser un riche anglais
Car ainsi avaient décidé ses parents.
Mais elle préférait le fils du palefrenier.
Jim était intelligent beau et sportif.
Les femmes le comparaient à Adonis.
D’ailleurs, toutes l’invitaient pour l’apéritif
Ou pour jouer éventuellement au tennis.
Seulement le garçon n’avait qu’un défaut,
L’amour des femmes, il n’aimait pas bien ça,
Préférant tel le dieu Apollon son héro
De passer ses nuits dans les bras d’un gars.
Margareth apprit qu’il était de la pédale.
Sans connaitre le terme du quiproquo,
Elle sollicita Jim d’une façon banale
Afin de lui apprendre à faire du vélo.
Le jeune homme accepta par amitié.
Margareth enfila sa plus belle tenue,
Décidée de perdre avec lui sa virginité.
Ce soir, il bouffera son petit cul !
A chaque élan, elle trébuchait volontairement
Montrant ainsi ses bas et sa culotte sexy.
Jim la relevait toujours avec son air charmant
Mais il comprit vite le jeu de Maggy.
Après une énième chute, il commençait à l’aider
Quand la fille attrapa tout à coup sa main
Pour enfin lui faire comprendre qu’elle le désirait.
Elle pressa la grande paluche de Jim sur son sein.
Il dit simplement : « Je suis désolé,
Mais je suis ici pour t’enseigner la bicyclette.
Je ne suis pas du genre à vouloir une fiancée
Car moi aussi, j’aime la quéquette. »
Honteuse, humiliée par ce refus,
La jeune fille sanglota d’un air désespérée.
Jim la regardait assise au milieu de la rue,
Elle l’insultait de sale pédé pas gai.
Devenu rouge de colère, le coquet la gifla
Puis la releva tout en s’excusant.
Alors, elle affirma qu’elle n’acceptera
Ses excuses uniquement en baisant.
Il comprit l’évidence, il était coincé.
Avec un père juge de paix
Elle pouvait le faire condamner
Pour viol ou homosexualité.
Jim accepta sa terrible intimidation.
Il emmena Margareth abandonnant le vélo
Pour la déflorer et ramoner son con
Même avec les femmes, il ne sera plus puceau.
Margareth et ses dix-neuf printemps
Epousa un riche mais vieil anglais
L’incitant à prendre pleins d’amants.
Dont le premier fut le fils du palefrenier.
Alex@r60 – juillet 2019